Trois croix funéraires témoins de la Résistance et de la barbarie nazie

Le 18 juin 1944, quatre ans après l’appel du général de Gaulle, a lieu à Saint-Marcel, non loin du site du musée, une bataille importante. Lieu du plus important maquis breton ayant tenu en échec l’armée allemande pendant un temps et s’étant replié, Saint-Marcel vit suite à la bataille sa population subir d’horribles représailles. Ces trois croix portent les noms de Yves Ayoul, Félix Guil et Madame Le Blanc, tués aux Hardys Béhéléc lors de ces représailles. Elles faisaient partie d’un champ de croix de bois temporaires installé lors de la visite du général de Gaulle en 1947 afin de rendre hommage à ces sacrifiés et au combat du maquis.  Jean-Claude Guil, fils de Félix Guil ayant lui-même vécu ces événements et Tristan Leroy, conservateur du musée de la Résistance en Bretagne, à Saint-Marcel, reviennent sur cette histoire tragique.

Podcast réalisé par Antoine Gouritin pour Bretagne musées, tous droits réservés

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